La pulsion est surtout un processus dynamique.
Pour lui, la pulsion « est toujours partielle », le terme de « » étant à entendre dans un sens plus général que chez : selon et Michel Plon, Lacan adopte en l'occurrence le terme d' qui provient de et des , et il introduit dès lors les deux nouveaux objets pulsionnels que sont la voix et le regard en plus des fèces et du sein, en les nommant « objets du ».
La théorie freudienne maintient un pratiquement constant : à la pulsion sexuelle s'opposent d'autres pulsions.
», in Sabina Spielrein, entre Freud et Jung.
L'analyse du 1911 a en effet amené Freud à observer que l'investissement du Moi semble « défaire le dualisme pulsionnel » : en prenant pour , au lieu des objets extérieurs, le Moi propre, les pulsions d'auto-conservation se révèlent être des pulsions sexuelles qu'on appelle désormais « libido narcissique ».
Il dénonce « la sous-estimation de la pulsion sexuelle » et repère « l'importance de la sexualité dans l'étiologie des ».